je viens d’ailleurs, pour que ma solitude se fonde
sur l’autel de ton mystère.. je recueille tes larmes,
offertes en une prière, qui déchire le silence..
alors j’écris pour te dire: que m’importe le monde
si toi tu souffres..!!! dans les errements,
dans nos errances, on trouve un chemin
qui nous ressemble.. lien indicible
ou reflet miroir.. se rejoignent
sur d’étranges terres, grondements d’espérance..
debout, leurs mots déchirent le silence.
.sur un trône de lumière …
tenant le sceptre de l’espoir brillant d’éclairs
..et de tous les rayons de la renaissance.
moi aussi …je voudrais franchir la distance.
m’asseoir sur votre rive.. prés de vous.
prés de votre regard..
Horizon Lointain
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