Archive pour la Catégorie 'Textes d’amis (es)'

Masturbation enfiévrée des neurones d’un number two…

Je souffre de n’être plus que le dessous de la lampe

De voir s’assoupir mes lumineuses heures de gloire

J’enrage de sentir s’étouffer les feux de la rampe

Cligner des yeux, hésité, trébucher puis faire-valoir

 

Je ne suis plus qu’une flaque de sperme sur l’océan de mes envies

Je crève de n’embrasser que le derrière de la passion

Je suis un vieux volcan aux dents rongées par la jalousie

Je navigue comme un bateau ivre entre bénédiction et déréliction

 

Je ne suis à l’amour ce que le seau de glace est au champagne

De n’être qu’un malade de plus lorsque la fièvre me gagne

Je suis comme une paire d’yeux d’automne abusés par l’été

Je ne sais plus, j’ai oublié comment jouir d’une virginité

 

Que c’est lourd de contempler des yeux qui ont batifolé avec d’autres iris

Que c’est hard de caresser des mains qui ont tremblé sur d’autres peaux

Que c’est lourd et visqueux de s’apercevoir qu’on ne prête qu’au vice

Jadis étendard sanglant claquant aux vents et aujourd’hui porte drapeaux

 

Est-ce un crime de ne voir que le côté corbeau d’une tourterelle ?

Est-ce un crime d’être plus près de la caravane que du soleil ?

Est-ce un crime d’être perdu du mauvais côté de l’arc-en-ciel ?

De ces heures d’errance, j’entends déjà les soupirs de l’accordéon.

 

Je haïs ce chiffre deux, comme cette dualité qui m’empoisonne

Je me languis, puni, dans cette éternelle position d’attente

J’ai dû faire une putain de faute dans cette dictée suintante

L’ivresse de la perspective d’être premier, m’emprisonne

 

 

Je suis un vieux cow-boy, j’veux plus chanter en play-back

Pour une fois encore, je veux être la bouche avant le sexe

Pour une dernière fois, je voudrais être le majeur avant l’index

Je suis un vieux pervers, j’veux plus être le bourrin sous le cosaque

J’veux plus être le briquet qu’on bat avant la flamme

J’veux plus être l’éponge après le savon

J’veux plus que les Dieux bradent mon âme

Je ne supporte plus être Jésus derrière les santons…

 

Oui, je fus number one, il y a longtemps, dans une autre vie.

J’en ai encore la saveur tatouée sur ma langue.

Aujourd’hui, je ne rêve plus que de ce pays où il n’y a pas de number two…

Je trouverai ce pays de cocagne, mais je serais encore foutu d’être… Number tree…

 

 G.P

 

 

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De guerre lasse (Conte pour grands enfants)

Une nuit sous la céleste voûte ponctuée de myriades de rêves

Ignorant les hommes, les étoiles jalouses se soulevèrent

Ce fut une guerre totale au-dessus de nos têtes

Étoiles contre rêves, réalité contre peut-être, trouble-fêtes

 

Bien fait pour notre gueule

Nous n’avions qu’à jouir

Et cesser d’être veules

Jusqu’à la tête s’enfouir

 

Les rêves battus ne pouvant plus revenir en arrière

N’ayant d’autres repaires que la nuit s’obstinèrent

Quel autre lieu qu’au-dessus de leurs anciennes demeures ?

Pour éviter l’oubli, ils se mirent à briller chaque nuit, chaque heure

 

Mais les étoiles propriétaires de cet espace les pourchassèrent

Elles qui aidèrent les hommes à fabriquer ces mêmes rêves  

Elles depuis, des éons immobiles, se regroupèrent

Et chassèrent nos songes sans relâche, sans aucune trêve

 

Elles créèrent la nuit noire, afin que nos songes se perdent

Les rêves déambulèrent dans d’autres univers  

Pendant ce temps-là, les hommes se déchirèrent

Enfants perdus, sans but, sans repaires au sein des guerres

 

Il fallut bien des lunes pour raisonner les astres

Il fallut bien des ruines pour que les hommes ouvrent les yeux

Sans rêves pour les guider, ils courraient au désastre

De leurs voeux pieux, ils fouillèrent les cieux

 

Ils fouillèrent en vain, les rêves se perdirent et…

S’éteignirent Orphelin de leur hypothétique avenir, il leur fallut créer d’autres destins

Mais les hommes capitulèrent, sombrèrent et l’espoir perdirent

Laissant la tristesse et mélancolie entamer un grand festin.

 

Aucun Dieu pour leur venir en aide

Aucun Dieu pour leur dire

Que la vie sans rêves est laide

Il n’existait aucun Dieu pour les soutenir…

 

Un jour, un homme se leva, sortit de sa chair

Prier les Dieux lui manquait, alors il rêva

Il songea tant et si bien, que la nuit devint claire

Point d’étoile pour les bouter, point de supernova

 

C’est ainsi que les rêves qui naissent la nuit

Attendent le jour pour éclairer nos chemins éparpillés

Et c’est ainsi que les étoiles moururent d’ennui

Sans le plus petit songe d’enfant pour les faire briller…

 

G.P

 

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Qu’est-ce qu’elles ont à dire les étoiles ?!

Demandez aux étoiles si menues, si frêles

Si elles craignent un soleil dilettante.

Demandez aux puces si irritantes

Si elles ont peur d’un chien infidèle.

 

Demandez à mon doigt, mon majeur

S’il refuse de coopérer avec ma main.

Demandez à tous ces petits cœurs

S’ils ont peur d’un amour sans lendemain.

 

Demandez à mes frères et à mes sœurs

S’ils ont peur de mes mots endiablés.

Demandez aux foins, aux épis de blé

S’ils tremblent aux chants des moissonneurs.

 

Demandez aux vagues chargées d’écume

Si elles refluent devant l’immensité du ciel

Demandez aux Hommes ivres de fiel

S’ils reculent devant les mers de brume.

 

La taille n’est point, n’est plus un repère.

Elle n’est qu’un pont vers d’autre univers.

La différence n’est point, n’est plus…

Ce n’est qu’un leurre, rien de plus.

Pat.G

 

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A propos de fleur

Dur labeur que cette quête,

Trouver la fleur aux mille pétales.

Épouiller des millions de pâquerettes,

Effeuillé les fleurs du mal.

 

Perdu dans les senteurs d’Amazonie,

Cherché, fouillé des brassées de pistils,

Fragrances suaves à l’agonie

Sous l’épaisseur des écorces séniles.

 

Visité les rêves blanchis des Dieux perdus,

Plongé dans des cornes d’abondance

À la recherche d’essences demeurées inconnues

Sous la touffeur des songes d’enfance.

 

Erré dans la noirceur des catacombes,

Déniché des monceaux d’obscurs chrysanthèmes,

Reniflé la doucereuse émanation qui plombe

Et me sentir usé comme Mathusalem.

 

Violé le mystère noir du fond des océans,

Émerveillé par le jardin salé des Atlantes,

Saoulé par le suc et le sel des corolles d’antan

Puis se rider d’une combustion lente.

 

Contemplé l’absence infinie du vide sidéral,

Ambiance gazeuse, relents délétères,

Plané, ivre dans ce silence total,

Abattu, car là non plus aucune fleur mère.

 

Osé fréquenter les enfers, dortoirs de la mort,

Léché malgré moi les étamines de soufre,

Abandonné nu dans le Styx couleur d’or,

Sortir de ma torpeur, fou, au bord du gouffre.

 

Plongé dans les yeux d’un enfant,

Dégusté des bouquets de cerises-coquelicots,

Goûté l’espoir d’un bourgeon au printemps,

Navigué sur des rêves pas encore éclos.

 

Puis j’ai regardé dans mon jardin,

Frissonné de plaisir à la fraîcheur vespérale,

Dans le cœur de ma douce, le plus beau matin,

Y ai trouvé la rose rouge aux mille pétales.

P.G

 

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REMERCIEMENT POUR TOI PATRICK D’ UNE TELLE CHANSON

Message électronique, web-cam sur tes yeux

Même si : It’s a long, long way home…

Kiss me on : Poor love. Com

Même si je ne te revois pas,

Kiss me sur amour pillé. Com.

 

L’horizon depuis s’est bouché les yeux,

Veut plus voir de l’amour qu’un souvenir.

C’est grave docteur, une tumeur au palpitant ?

Pourrais-je aimer comme naguère, comme avant ?

Manque une saison dans mon calendrier

Je passe du printemps à l’automne

Un amour d’adulte, c’est comme l’été

Ça chauffe, ça brûle et ça assomme

Manque une saison dans mon cœur de supplicié.

 

Message électronique, web-cam sur tes yeux

Même si : It’s a long, long way home…

Kiss me on : Poor love. Com

Même si je ne te revois pas,

Kiss me sur amour pillé. Com.

 

Je pose un cataplasme sur mes humeurs

Au cœur du catafalque de mes amours.

C’est grave docteur, un haut-le-cœur récurent ?

Pourrais-je haïr comme jadis, comme avant ?

Manque la raison au bout de ma vigne

Je récolte un vin aigre, acide.

L’amour adulte, c’est comme la guigne,

Ça chauffe, Ça brûle et ça se débide

Manque la passion sur l’amour en ligne.

 

Message électronique, web-cam sur tes yeux

Même si : It’s a long, long way home…

Kiss me on : Poor love. Com

Même si je ne te revois pas,

Kiss me sur amour perdu. Com.

 

Manque une saison sur mon calendrier.

Manque la raison au bout de ma vigne

L’ivresse de la passion, la flamme du désir

Ça chauffe, Ça brûle, ça trépigne…

Même si je ne vois plus personne

Kiss me sur : Amour perdu. Com. (bis)

 

G.P

Toi l’Ange…de mes nuits

Bonjour ange …de nuit…

Comme dans ce tableau, mes mains se tendent…

Vers la beauté.. d’un visage auréolé de mystère…

Et de lumière…

Les mots de l’ange m’entourent comme des tresses de fleurs…

Comme des colliers de larmes…qui ornent mon visage..

Perdu dans la fascination de ce regard….

Mon coeur est à genoux…et sourit dans sa douleur…

Et dans la douceur de ta poésie…

J’aimerais que tes paupières se ferment …sur les miennes…

Je t’embrasse…

 

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Pour toi…

Comme je voudrais être ce feu d’amour…

Je serais aimé comme pas un dans ce monde…

Ton chemin est plein d’épines…

Comme une couronne….mais qui m’attire…

Et comment me dévoiler ?

La multitude …n’en sera que plus mordante…pour toi..

Moi je suis au loin..par delà les montagnes et les mers..

Seul une fée bleue peut atteindre mon royaume…

Mon regard n’a droit qu’à une étoile filante…

Qui traverse mon coeur ..avant de disparaitre..

Lumière dans la lumière..puisse ton éclat illuminer …

Mon visage…

( merci mon ami  SAAD pour ce texte qui vient de si loin)
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texte d’un ami

Je voudrais tellement que tu te lèves,

Comme une aube naissante …

Comme un jour de liberté …

Que tu sois debout ..comme sur un sommet

Debout avec tes mots qui claquent comme des bannières au vent …

Qui chassent ta tristesse …

La notre et celle des autres …

Laisse apparaitre cette fleur que tu as au fond du coeur….

Cette flamme de vie que tu brandis dans ton poing rageur…

Q’IMPORTE!!!!!! on t’aime comme tu es….

Tu brûles tes instants à coup de mégots et de rictus au coin des lèvres…

Ne t’enlises pas dans ces sables mouvants…

De la souffrance..et de sa torpeur…

Tu as une noble mission : nous parler pour nous guérir…

Ton écriture est une thérapie…

ALORS RALLUME TES MOTS ET REPRENDS TES PLUMES…

 

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C’EST QUOI LA VIE ?

 


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La vie c’ est prendre le temps de regarder les gens,

c’ est  être allongé dans l’herbe et regarder vers le ciel,

C’est être la tête dans les nuages et penser à ceux que l’on aime.

La vie c’est aussi ne plus avoir peur de dire  JE T’AIME !

C’est savoir apprécier sa juste beauté, se laisser aller ainsi, à de douces pensées.

La vie c’est prendre le temps de faire des confitures,

C’est profité de l’instant présent sans planifier le futur

C’est se dégager de cette spirale dans laquelle on veut nous confiner.

La vie c’est savoir s’enrichir des valeurs simples,

De cet héritage que nous ont laissé les anciens

Ne nous éloignons jamais du fait qu’on est bien peu de choses.

On a rien inventé ; à trop vouloir nous nous sommes juste égarés

Mais c’est de toutes ces futilités que jaillit le réel sens de la vie.

Les choses ne changent pas, elles évoluent mais gardons les racines

Sans lesquelles l’Homme deviendrait ruine.

 

 F.PIERRAT.

Ivresse et délire amoureux

 

 

Mon ange, je regarde le ciel et j’y vois des formes triangulaires.

Est-ce un signe des extraterrestres ? Cela me semble bizarre !

Je crois que j’ai l’eau de vie qui me monte à la tête !

Je vois à l’horizon comme une tour de verre

Abritant un soleil orange troué de ta bouche , le couvrant de baisers.

 

F.PIERRAT

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